Chaque année depuis 2016, l’association Féminin Pluriel Montpellier Méditerranée s’implique et soutient au travers de son Prix littéraire des œuvres écrites par des femmes. L’objectif est de promouvoir les femmes auteures et participer à mettre en avant des femmes dans le domaine de la culture. C’est aussi un moyen de propulser de jeunes auteures du sud de la France, leur donner une chance, leur apporter un public, car on le rappelle les critères de sélection sont : une œuvre réalisée par une femme, issue (de préférence) du sud de la France et ce doit être sa première œuvre (ou seconde). La lauréate du prix remporte alors un chèque de 500€ qui lui est généralement remis lors d’un évènement dédié.
Cette année, la commission s’est donc réunie pour sélectionner les 10 magnifiques œuvres qui ont concouru pour le Prix Littéraire 2021 de Féminin Pluriel Montpellier Méditerranée que vous pouvez observer à votre gauche.
Ces œuvres ont donc été lues, par les membres et leur a permis d’échanger, de se retrouver et de se découvrir autour de leur amour des livres.
Parce que Féminin pluriel c’est aussi ça, des moments de partage et d’entraide, pas seulement dans le monde économique, mais partout où se trouve la femme: enseignement à l’école, culture, moments de partage, entrepreneuriat et bien d’autres.
Cette année, la remise du prix à la lauréate s’est déroulé au Domaine de Rieucoulon, ce fut un moment de partage très plaisant et l’auteure lauréate a pu nous lire quelques extraits de son roman.
Néanmoins, les autres auteures ne sont pas laissées pour compte puisqu’en effet chaque mois une œuvre (de la sélection) est mise en avant sur les réseaux sociaux de Féminin pluriel Montpellier Méditerranée sur les comptes Facebook et Instagram .
Ce qui permet de mettre encore une fois la femme a l’honneur dans la culture et ainsi fédérer le réseau international autour de la langue française et du prix littéraire.
Bénie soit Sixtine
Cette année c’est “Bénie soit Sixtine” paru aux éditions Julliard et écrit par la plume de la talentueuse Maylis Adhémar, qui remporte le premier prix.
La journaliste toulousaine de 34 ans signe un premier roman en partie inspiré de son histoire personnelle. Sixtine, sixième enfant d’une famille bourgeoise catholique intégriste, décide de fuir ce milieu dans lequel elle baigne depuis son enfance jusqu’à son mariage. Un récit d’émancipation régulièrement salué par la critique.